Montbéliard - Pougues, de nombreuses peintures de 1970 à 2000
Paris 2024, le Département de la Nièvre et la Régie Autonome des Transports Parisiens
Histoires de Modèles Fin de siècle - Sarah Brown - l'Art académique
Pougues-les-Eaux, les Portes et le Métro
1996 - Art contemporain et Institutions, le paradoxe et l'arbitraire
Les Donneuses d'eau du Parc Saint-Léger de Pougues - octobre 2012
"JE SUIS LA NIEVRE" pendant le Covid 19
Les Affiches des expositions 1974 - 2017
Passy-les-Tours, déclinaisons en novembre 2016
Les Peintures 1972 - 2002 – Synopsis
Urbex 2015 - Les usines Lambiottes
Contrat d'artiste du 7 septembre 1977
Marc VERAT
1996 - L’ART CONTEMPORAIN ET SES INSTITUTIONS
A chaque époque son art officiel. Parfois l'artiste l'ignore, parfois celui-ci y adhère plus ou moins et,
plus rarement, s'y oppose ouvertement.
Jusqu'alors, avec les différents médias, écrits, radio et télé-diffusés, le destinataire était essentiellement passif, se contentant de choisir et de recevoir sa source d'information, sans autre participation possible.
Aujourd'hui, par l'intermédiaire de l'Internet, ce même destinataire a désormais l'opportunité de devenir un acteur actif :
En exprimant son point de vue - En traitant l'information - En la rediffusant.
Alors, profitons-en !
Sur Internet depuis septembre 1999, mise à jour en octobre 2021
Marc VERAT
1998 - L’ART ACADEMIQUE
Dans les encyclopédies d'art et jusqu'après l'ouverture du Musée d'Orsay, les chapitres réservés à la peinture académique se trouvent étrangement sous-représentés ou même carrément absents.
Leurs auteurs, lorsqu'ils parlent de la seconde moitié du XIXème siècle, ne considèrent que l'art romantique et réaliste, Manet et les impressionnistes ou, parfois, le symbolisme.
Ceux qui hier et de leur vivant ont été reconnus et adulés, c'est-à-dire les peintres académiques et "pompiers", ont purement et simplement été rayés des cadres de l'histoire de l'art.
mise à jour : janvier 2020
La règle du copyright : L'image rentre d'ordinaire dans le domaine public 70 ans après le décès de son auteur aux États-Unis d’Amérique, en Australie, dans l’Union Européenne...
En principe, dans les musées publics nationaux, l'oeuvre, donc généralement son image appartient au patrimoine de tous.
La licence Creative Commons Zero (CCØ) est une licence libre Creative Commons permettant de copier, modifier, distribuer et représenter l’œuvre, même à des fins commerciales, sans avoir besoin de demander l’autorisation. Paris Musées, par exemple, indique ainsi qu'il n'y a pas de restrictions concernant les droits d'auteurs du fichier numérique représentant les œuvres appartenant déjà au domaine public. Cette licence garantit le libre accès et la réutilisation par tous des fichiers numériques, sans restriction technique, juridique ou financière pour un usage commercial ou non. Ce corpus comprend donc des reproductions d'une œuvre dont l’auteur est décédé depuis plus de 70 ans, durée au-delà de laquelle son œuvre passe dans le domaine public et qui est la reproduction d’un bien culturel.
Cette licence, de plus en plus courante, paraît logique dans la mesure où, en France, la conservation des oeuvres est généralement assurée par des fonctionnaires rémunérés par des fonds publics.
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